Issue de la noblesse bretonne. Hélène grandit aux côtés de sa mère et de sa sœur à la séparation de ses parents. A 16 an...
Issue de la noblesse bretonne. Hélène grandit aux côtés de sa mère et de sa sœur à la séparation de ses parents. A 16 ans, elle commence à écumer les castings et tourne quelques publicités. L'adolescente s'envole pour les Etats-Unis avec une amie partie suivre les cours de l'école Lee Strasberg Theatre Institute à New York. En 1992, elle fait ses débuts dans Collège des cœurs brisés, une sitcom d'AB Production. Le réalisateur Jean-Pierre Mocky repère la ravissante débutante et lui propose son premier petit rôle dans Le mari de Léon en 1993. Elle incarne à nouveau une lycéenne en 1995 dans le Péril Jeune de Cédric Klapisch. Trois ans plus tard, elle obtient son premier rôle important dans Que la lumière soit d'Arthur Joffé et une nomination au César du meilleur espoir féminin pour son interprétation. En 2001, elle décroche le Prix Romy-Schneider pour Va savoir de Jacques Rivette. Mais c'est en 2002 que l'actrice est réellement révélée au grand public avec la comédie Le Raid de Djamel Bensalah. Très à l'aise dans le registre de la comédie, l'actrice enchaîne les rôles (Fanfan la tulipe, Les Aristos, Les dents de la nuit, Tricheuse). Plus discrète sur les plateaux de tournage, elle revient en 2015 sur le devant de la scène avec plusieurs projets; un téléfilm Le secret d'Elise, une pièce de théâtre Un temps de chien, et un long-métrage C'est le métier qui rentre de Diane Kurys. En 2008, elle publie Lune-Milla Rose et le champignon magique, un conte pour enfants aux éditions Nathan. Actrice engagée, elle met sa notoriété au service des autres et parraine l'Association Marie Rêves et Espoir, à Angers, qui réalise les rêves d'enfants malades. En 2021, Hélène de Fougerolles publie T'inquiète pas, maman, ça va aller, chez Fayard, dans lequel l'actrice se livre à cœur ouvert sur l'autisme de sa fille.